Divines Confidences

En fait, hier soir, j’ai constaté que tout mon corps était très léger. Cela m’a rappelé mon premier darshan où j’avais eu l’impression que les jambes notamment étaient légères comme des plumes. De plus, toutes mes cellules vibraient. J’ai constaté que cela « bougeait » dans mon ventre aussi, comme si « la tuyauterie » de mon appareil digestif se débouchait tranquillement ! J’ai ensuite dormi comme un loir ! Et ce matin, je me sens toujours portée par l’Amour. Pour moi l’Amour, le divin cela veut dire l’intelligence de Vie qui sous-tend tout comme je l’ai déjà précisé.

Le darshan de ce milieu de journée a duré au moins 15 minutes. En fait, je reste devant la photo jusqu’à ce que je sente que le mouvement intérieur me signifie que cela suffisait pour aujourd’hui. Rien de particulier, et pourtant ne croyez pas que ce n’est rien. Cela reste encore et toujours un moment d’extrême communion avec la Grâce. Tout sourit en moi. Dieu que c’est bon !

Jour 38

Lorsque je suis rentrée du travail, hier en fin de soirée, mes voisins avaient garé leurs 2 voitures devant chez moi. Et j’ai vu que cela générait encore de la contrariété en moi. J’ai demandé à Mère, avant de me coucher de m’aider à dépasser cette colère intérieure et de me montrer ce qui n’est pas encore accepté que je ne vois pas pour l’instant. Puis je m’en vais dormir

Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Mon appareil digestif semblait comme au ralenti. Je me sens toujours les jambes très légères, et c’est vraiment très agréable ! Ce midi, en faisant le darshan, je ressens tout de suite 2 tensions dans mon corps, une au niveau de l’estomac, en profondeur, l’autre à la base du cou, 5^ème chakra. J’ai sommeil, alors je lutte un moment avant de pouvoir être bien présente. J’ai remarqué qu’il y avait pratiquement toujours comme une phase de préparation, qui m’amène à être complètement à ce qui se passe, lorsqu’il y en a besoin. Puis ensuite, c’est comme si la lumière commençait vraiment à œuvrer. Au niveau de l’estomac, j’ai senti plusieurs fois des nausées qui disparaissaient dans un tourbillon/vortex de lumière. Cela a entrainé deux gros soupirs, et une envie d’éructer qui a avorté dans un autre vortex. Ensuite, mon ventre s’est mis à gargouiller. Et la tension s’est apaisée.

Mon attention étant totalement portée sur cette tension-là, je n’ai pas vu se défaire la seconde (Chakra 5), qui pourtant a disparu, elle aussi.

J’adore observer faire la lumière et je me demande toujours comment elle va s’y prendre d’une fois à l’autre. Tout se termine dans la tranquillité, et je repars vaquer à mes occupations, le cœur joyeux et en paix.

Jour 39

Hier après-midi, j’avais rendez-vous avec un médecin praticien en médecine chinoise pour mes problèmes digestifs. Ce médecin a des perceptions assez développées, semble-t-il, et à un moment me dit « il y a une émotion non exprimée, qu’est-ce qui vous contrarie, que vous gardez pour vous ? ». Et là, j’ai senti tout de suite, remonter le « problème » de voisins avec leurs voitures. J’explique brièvement. Et elle me demande alors pourquoi, je n’en parle pas aux propriétaires. Je lui explique qu’il n’y a pas de règles, et que jusqu’à l’arrivée de ces nouveaux locataires, il y avait un accord implicite de laisser les places à chacun devant leur habitation. Le médecin insiste : « cela n’empêche pas d’en parler » et me donne tout un tas d’arguments auxquels j’ai déjà pensé ». Je réponds car c’est la seule chose qui me vient «je ne sais pas pourquoi, je n’arrive pas à leur en parler ». Et je sens l’émotion sortir avec quelques larmes. Puis, tout va mieux, et l’énergie se remet à circuler d’un coup.

Ce matin, je me lève fatiguée, nauséeuse, avec un mal de tête sous jacent. Mes yeux sont tout rouges et je trouve que j’ai une petite mine. Le moral me semble pourtant normal. Je mets cela sur ma séance d’hier, pensant que l’intégration physique est en cours.

N’ayant pas beaucoup de courage, je décide de faire le darshan dans la matinée, histoire de me booster ! A peine devant la photo, le « problème » voisins/voitures se montre. Je dis à Mère « aide moi à voir, ce qui n’est pas accepté, car je ne sais plus par quel bout prendre ceci ». Et là, il se met à venir un énorme chagrin, et je me mets à pleurer comme une madeleine. Le lien se fait. Je revois la petite fille que j’étais, qui n’arrivait pas à dire à ses parents, ce qui la contrariait. Je demande à voir la source, et de fil en aiguille je remonte à la période d’hospitalisation à 2 ans ½. Je vois l’histoire telle que je l’ai comprise à l’époque : je dis que j’ai mal au ventre (c’est l’appendicite). Je suis bannie et abandonnée (10 jours à l’hôpital sans voir mes parents attachée à un lit) ; c’est donc que mes parents ne m’aiment plus !  Donc, dire que quelque chose me déplaît et me fait mal au ventre, c’est prendre le risque de ne plus être aimé, et exclue du clan. Et derrière, je vois encore, l’idée de la punition divine. Si mes parents ne m’aiment plus, alors Dieu père/mère ne m’aiment pas non plus. Impressionnant la douleur qui accompagne tout cela et que je regarde sortir de moi ! J’accepte et intègre tout ce que je vois, offre à la lumière. Cela dure un certain temps, puis tranquillement, tout s’apaise. Je remercie la  Mère Divine. Le mal de tête a disparu même si je me sens vidée et un peu vaseuse encore ! Et maintenant, en écrivant, je sens mes cellules vibrer et l’énergie circuler. Très agréable !

Tout le programme www.lecoeurdesarbres.com

 Retrouvez moi sur YouTube   facebook